Pourquoi ce blog « des
branches et des singes » ?
Quasi-quotidiennement, une foule de
phénomènes – risibles, merveilleux, affligeants, inexplicables de
prime abord - chatouille notre curiosité et nous remue la tête.
Mimique empruntée, soirée ratée, rencontre joyeuse, phrase
savoureuse ou désolante, singerie-écran ou authentique singularité
naissent en ville ou dans les champs ... Derrière eux, signes des
temps, peuvent se cacher nos mythologies actuelles.
On en parle assis dans un troquet,
debout dans une cuisine, en marchant dans la rue, on essaie d'en
décrypter le sens, en déshabillant les formes. On tombe souvent
d'accord, mais c'est insuffisant. Impossible de trop développer,
c'est décousu et on oublie. A l'oral, les idées s'envolent, se
compriment, doivent se dire vite avant que les portes du métro ne se
referment. Ecrites, elles ont toujours le temps, et s'affolent moins.
Voici quelques billets d'humeur sur des
branches en vogue, et des singes qui s'y raccrochent, ricanent, s'y
mirent. Les jungles urbaines nous offrent mille raisons d'être des
imitateurs parés d'objets connectés en recherche de distinction.
Mais quand nos singeries se prennent trop au sérieux, il est aussi
bon de nous débrancher, ou du moins de s'avouer monkey men...
RM, TL
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